Résumé : « Je m’appelle Myriam, j’ai treize ans. J’ai grandi à Jabal Saydé, le quartier d’Alep où je suis née. Un quartier qui n’existe plus. »
Myriam tient son journal intime, comme tant de petites filles à travers le monde. Mais de novembre 2011 à décembre 2016, c'est au cœur de la guerre que va se dérouler sa vie. Voir ses parents qui s'inquiètent, les rues qui se vident et les commerces qui ferment...
Puis, au fil des mois, les tirs, les bombes, les "homme en noir" qui forcent sa famille à fuir.
Un récit unique et poignant, porteur d'un message universel.
C'est de juin 2011 à février 2017 que Myriam tiendra ce journal.
Myriam est une jeune syrienne chrétienne de presque 8 ans, d'origine arménienne. Elle habite à Alep avec ses parents et sa petite sœur Joëlle.
Son journal commence comme pourrait commencer celui de milliers d'autres jeunes filles de son âge. Des balades avec ses parents et des jeux avec ses petits copains de classe.
Jusqu'à ce jour de novembre 2011 où Alep est pris par les rebelles. Des manifestations ont lieues dans la ville et des coups de feu sont tirés. Myriam espère encore que ce n'est qu'une mauvaise passe et que tout reviendra à la normale.
Malheureusement, la ville d'Alep, comme le reste de la Syrie, plongera dans un chaos sans nom, où la mort n'épargne personne, où la mort ne fait pas de différences d'âge, de sexe, de religion.
A travers son journal, Myriam nous plonge dans la guerre "de l'intérieur" à travers les yeux et les ressentis d'une petite fille, qui au début ne comprend pas bien ce qui se passe, et qui, à ses 13 ans, sera capable de reconnaître le bruit des armes ou des bombes.
C'est un récit poignant, qui nous rappelle encore qu'aucun enfant ne devrait grandir sous les bombes. Il agit comme une piqûre de rappel. Il nous fait réaliser aussi que ce n'est pas car une guerre est terminée, qu'une ville est libérée, que les survivants peuvent retourner à une vie normale. Les enfants, bien plus que les adultes, garderont des séquelles à vie. On aurait bien tendance à l'oublier.
J'ai été estomaquée par une phrase, une seule simple petite phrase qui passerait totalement inaperçue si elle était prononcée par une autre personne : "Ce matin, c'est le silence qui m'a réveillée".
Simple, mais frappant.
Mon livre était aux éditions Le livre de poche.
Myriam tient son journal intime, comme tant de petites filles à travers le monde. Mais de novembre 2011 à décembre 2016, c'est au cœur de la guerre que va se dérouler sa vie. Voir ses parents qui s'inquiètent, les rues qui se vident et les commerces qui ferment...
Puis, au fil des mois, les tirs, les bombes, les "homme en noir" qui forcent sa famille à fuir.
Un récit unique et poignant, porteur d'un message universel.
C'est de juin 2011 à février 2017 que Myriam tiendra ce journal.
Myriam est une jeune syrienne chrétienne de presque 8 ans, d'origine arménienne. Elle habite à Alep avec ses parents et sa petite sœur Joëlle.
Son journal commence comme pourrait commencer celui de milliers d'autres jeunes filles de son âge. Des balades avec ses parents et des jeux avec ses petits copains de classe.
Jusqu'à ce jour de novembre 2011 où Alep est pris par les rebelles. Des manifestations ont lieues dans la ville et des coups de feu sont tirés. Myriam espère encore que ce n'est qu'une mauvaise passe et que tout reviendra à la normale.
Malheureusement, la ville d'Alep, comme le reste de la Syrie, plongera dans un chaos sans nom, où la mort n'épargne personne, où la mort ne fait pas de différences d'âge, de sexe, de religion.
A travers son journal, Myriam nous plonge dans la guerre "de l'intérieur" à travers les yeux et les ressentis d'une petite fille, qui au début ne comprend pas bien ce qui se passe, et qui, à ses 13 ans, sera capable de reconnaître le bruit des armes ou des bombes.
C'est un récit poignant, qui nous rappelle encore qu'aucun enfant ne devrait grandir sous les bombes. Il agit comme une piqûre de rappel. Il nous fait réaliser aussi que ce n'est pas car une guerre est terminée, qu'une ville est libérée, que les survivants peuvent retourner à une vie normale. Les enfants, bien plus que les adultes, garderont des séquelles à vie. On aurait bien tendance à l'oublier.
J'ai été estomaquée par une phrase, une seule simple petite phrase qui passerait totalement inaperçue si elle était prononcée par une autre personne : "Ce matin, c'est le silence qui m'a réveillée".
Simple, mais frappant.
Mon livre était aux éditions Le livre de poche.
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